Qui sommes nous ?

EnvolÉmoi Éditions est une maison d’édition indépendante du Val d’Oise (95), née en 2015. Ses fondateurs souhaitent avant tout offrir aux lecteurs de belles expériences ou évasions littéraires quel que soit le genre proposé : roman, roman jeunesse, nouvelle, témoignage, poésie. Cette maison d’édition se caractérise également par le fait qu’elle ne reçoit pas de manuscrits de la part des auteurs : c’est elle qui repère directement ses futurs collaborateurs, leur demande un manuscrit ou la composition d'une nouvelle œuvre.

mercredi 24 février 2021

« Écoutez, y’a rien à voir ! » #15 - Alfred Stevens

Votre émission culturelle diffusée le lundi 1er mars 2021 de 19h à 20h sur Radio RGB 99.2 FM ou en streaming sur www.radiorgb.net, puis en podcast quelques heures plus tard.


En première partie d'émission, prenez le train des ondes pour vous faire conter une ou plusieurs œuvres d'art, le tout rythmé par des archives sonores et des évasions musicales, avant de passer dans le wagon suivant où vous attend l'interview d'un artiste contemporain au féminin ou au masculin : écrivain, musicien, plasticien, danseur, acteur... Le soufflet entre les deux voitures est composé d'une chronique de Fabienne.


Dans le train de ce quatorzième voyage…
Premier wagon : Alfred Stevens (1823-1906), le plus parisien des peintres belges.
Peintures : « Un beau jour au Tréport » (1890) et « La voie lactée » (1885)


Soufflet : La chronique de Fabienne Louis « où l'on parle du confinement et des sans-abris » !


Deuxième wagon : Interview de Mohamed Ben Achour, directeur de la bibliothèque municipale Albert Camus d’Éragny-sur-Oise, et commissaire de l’exposition « Charlotte Salomon, Vie ? Ou Théâtre ? » présentée du 2 au 20 mars à la bibliothèque.


« Écoutez, y’a rien à voir ! », un voyage sonore à l'anglaise qui ne manque pas d’air, et encore moins d’imaginaire, produit par le département culturel de l'association EnvolÉmoi Éditions et radio RGB, animé par Philippe Raimbault et Fabienne Louis
http://www.radiorgb.net/emission/ecoutez-y-a-rien-a-voir
 

 Crédit image : catalogue « Alfred Stevens 1823 Bruxelles-Paris 1906 » édité par les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique et le Vang Gogh Museum d’Amsterdam, à l’occasion des expositions qui lui furent consacrées la même année dans ces deux musées, de mai 2009 à janvier 2010.


lundi 1 février 2021

"L'Absent" de François-Xavier Freland

 


Vous avez tout le mois de février pour profiter de la promotion à 1,99 € du roman L’Absent de François-Xavier Freland pour la version numérique :

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etc.  

4e de couverture :

Années 1949-1950, l’armée française s’essouffle en Indochine. Le gouvernement y envoie des renforts par bateau depuis Marseille. Jean Duchemin, jeune lieutenant, et résistant de la dernière guerre, s’est engagé pour défendre la liberté et l’avenir de la France.

Grâce au journal de Jean, et aux lettres qu’il échange avec Jeanne, son épouse, nous suivons cette expédition militaire sur le pont du Skogum, dans les langueurs de Diego Suarez à Madagascar, lors du débarquement des troupes à Haiphong, puis à travers l’érosion violente des positions françaises face aux troupes de Ho Chi Minh. Nous découvrons aussi avec émotion la dureté, la fidélité et la beauté d’un amour par correspondance.

Deux générations ont passé et toute cette histoire aurait été oubliée si un jour l’un des petits-fils n’avait retrouvé le journal et les lettres dans un tiroir du bureau de sa grand-mère… Peut-être allait-il enfin lever le secret de ce grand-père Jean ? Ce grand « Absent » des discussions familiales, cet officier disparu en 1950 sur la RC4, la route qui mène de Cao Bang à Lang Son, là-bas, si loin, en Indochine ? Peut-être allait-il aussi pouvoir percer le mystère de l’autre Jean, Jean Lefrand, son deuxième grand-père, que Jeanne épousa en secondes noces ?

Sur fond de guerre coloniale, les deux acteurs sous-jacents de ce roman ont pour nom le temps et l’éloignement. Ces deux réalités qui enfantent l’inquiétude, le manque, l’absence, le doute, le drame et parfois même l’oubli. Heureusement les écrits restent et nous permettent, par la plume captivante et l’humanité communicative de l’auteur, de dépasser la fiction et de renouer avec l’émotion de nos secrets de famille, les vrais ou faux héros, l’impériosité pour chaque génération de connaître l’histoire de la précédente. Reconnaissons que nous avons toutes et tous un « Absent » dans nos arbres généalogiques, comme nous le rappelle si bien ce récit dont chaque page est une lettre adressée, en poste-restante, à notre mémoire collective…